Covid-19 : faut-il limiter l’usage du gel hydroalcoolique ?

Face à la pandémie du coronavirus qui fait des ravages dans le monde entier, l’utilisation d’un gel hydroalcoolique est l’une des solutions de prévention instituée. Son utilisation présente des enjeux sanitaires importants qu’il faut maîtriser. Dans cet article, découvrez essentiellement les conséquences de l’usage excessif de ce produit.

Une forte dose est préjudiciable à la santé

L’utilisation du gel hydroalcoolique doit être raisonnable. Ce produit, magnifié pour son importance dans la lutte contre la propagation du coronavirus, n’est pas sans danger. Une dose excessive de ce produit comporte de potentiels risques de maladies que les populations ignorent carrément. Pourtant utilisé à outrance, le gel hydroalcoolique peut être source de l’antibiorésistance chez l’humain. Beaucoup de personnes ont développé des bactéries, après quelques semaines de forte utilisation du gel hydroalcoolique. L’excès en toute chose nuit, dit-on ! Faire usage de ce produit sans interruption sur plusieurs jours avec une dose pas raisonnable peut avoir des conséquences graves sur les mains. La qualité du gel compte alors énormément pour limiter les dégâts. La marque kleengel par exemple, propose à tous, un gel hydroalcoolique moins nocif.

Limiter son usage pour préserver l’épiderme

L’usage excessif du gel désinfectant comporte des risques de dégradation de la première barrière immunitaire naturelle chez l’homme. Les substances chimiques qui servent à la fabrication de ce produit portent atteinte à l’épiderme en cas d’une utilisation abusive. En effet, l’éthanol qui est l’élément de base d’un gel hydroalcoolique peut facilement rendre perméable la barrière immunitaire de la paume des mains pour créer des pathologies diverses. S’il est incontournable dans le contexte actuel de crise sanitaire, il faut savoir s’en servir de toute façon. Il est préférable de modérer l’utilisation de ce produit au quotidien en l’alternant avec un lavage des mains à l’eau et au savon. Mieux vaut prévenir vaut que guérir, dit-on !